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(photo 8318-ad/Menin)

 

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(photo 8319-ad/menin)

 

Dans les années 50, champ et contrechamp de la vie quotidienne  rue de Lille à Menin, à la frontière avec Halluin :  travailleurs frontaliers belges en bicyclette, ou remontant dans  leur bus, qui avec les camions en attente du passage en douane bloquent la circulation et masquent les vitrines des magasins.-

 

Extraits commentaires facebook : ( décembre 2016)

Jacques Hanicot Que de souvenirs !!
Vers mes 6 ans j'habitais rue de Lille dans les appartements Gerlandt. Les camions qui attendaient leur passage en douane étaient garés les uns derrière les autres jusque chez nous. Une fois l'un de ces camions qui transportait du lin s'est couché, sous le poids de sa cargaison, juste devant l'entrée des appartements. Je me souviens de la panique qui fut la mienne car il nous fut impossible de sortir de chez nous tant que tout le lin ne fut ramassé et tant que le camion ne fut rétabli sur ses roues, c'est à dire pendant une journée complète.
Souvenirs, souvenirs ...

Marie-Jeanne Delahousse-Delobelle Nous aussi pendant notre enfance avons eu un camion avec ballots de paille qui s'est renversé sur la façade du magasin de vins et liqueurs de chez nos parents (11a rue Emile zola ), et on avaient eu très peur car la vitrine menaçait d'exploser !!!
Jacques Hanicot
 
 
Jacques Hanicot Ces deux anecdotes ne doivent certainement pas être les seules car à cette époque nos rues proches de la frontière étaient envahies par des camions de tout genre, plus ou moins en bon état, plus ou moins correctement chargés, engendrant des problèmes pour nous riverains.
A ce sujet, il me semble qu'il y a eu un accident dramatique à l'entrée de la frontière belge, au coin de la rue de Mouscron et de la rue de Lille. Une enfant s'est faite écraser par un camion de lin, certainement surchargé ... !
 
Serge Douchy
 
Serge Douchy supers photos jean j adore