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petits commerces

FRUITS ET LÉGUMES

04070Photo n°4070

 

FROMAGERIE GONTIER RUE DE LILLE

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En 1920 avec Lucie, Gérard, et Marie Thérèse GONTIER photo n° 5891

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Après transformation. M. & Mme Dehondt avec 
Lucie, Jeannette, Jean-Marie, Marie Thérèse
et M. & Mme Pierre Gontier   photo n° 5960
 
LC 0621 2
En 1991 le magasin 'la maison du fromage' est transformé.
Fins connaisseurs en fromages et,
pouvant donner de judicieux conseils,
sur le choix des vins les accompagnant,
Mr et Mme Dehondt avec un petit regret,
vont quitter le magasin en 2004 pour une retraite méritée.
 
 
HENRI COUZINEAU RUE DE L'ABBÉ BOPNAIN
06199 

photo n° 6199

 

AU 5 RUE DE L'ABBÉ BONPAIN LE MAGASIN COUZINEAU

AU 7 L'IMPRIMERIE DUMORTIER

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photo n° 6198

 

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 AD 0138 a

AD 0138 c

AD 0138A

AD 0138 b

AD 0138B

 

 

 

 

ÉPICERIE DESMET "AU TAMBOUR" 294 RUE DE LA LYS

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photo 2774 

 

PHARMACIE POURSUIRA RUE DE LA GARE

AL-00442

                                                                                               AL442

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M. Gabriel Poursuira a ouvert sa pharmacie, rue de la Gare,en 1913.

Son fils Jacques lui succéda en 1956.       photo n° 5855

 

BOULANGERIE RUE DE LA PAIX

AD 0011

 la boulangère sur le pas de sa porte. AD 0011

 

MERCERIE "LE ROUET " RUE GUSTAVE DESMETTRE

AD 0847

photo AD 0847

 

 

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La boucherie DESMAZIERES,successeur de M.LORIDAN, 83 rue de Lille; M.Desmazières est mort en captivité
durant la guerre 14/18. La boucherie a été  reprise par M.VANHOUTTEGHEM.
 
(photo no 5961 )

 

M. & Mme Émile GARDIN, rue de la Pannerie

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photo 8369-ad

                                                   Au 5 rue de l'abbé Bonpain,

                                           le studio a remplacé le magasin Couzineau.                                                         

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                                                                    photos n° 6200  6201  8368a   8368b

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 Alphonse Trachez, boucher, 87 rue Jean Jaurès, photo n° 00841

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Nous sommes avant l'année 1914  photo n° 00838

 

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photo n°00851

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Maurice Trachet à gauhe,  devant sa boucherie, rue Jean Jaurès

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A l'abatoir Maurice pique le taureau, son frère Charles est à gauche de la bête.photo n° 00839

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Famille Lesage Destailleurs - marchand ambulant de levures -.

(photo n° 5663)

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Fauteuils et table en osier  de la Vannerie De Decker,
au 56,  rue Michelet  Halluin.     
(photo n° 02722)
La Vannerie De Decker... Historique.
Henri De Decker s'installe à Halluin en 1889, au n° 7, de la cité Lannoy Blin. Il vient d'Ecloo, en Belgique, région où l'on travaille traditionnellement l'osier.
Dans cette région de Roubaix-Tourcoing-Halluin, les industries textiles mais aussi les "coulonneux" sont acheteurs de paniers de filature, de paniers à pigeons. Il fabrique également des paniers à vélo et des mannes à pommes de terre. De nombreux colporteurs, surtout belges, viennent chercher la production pour la revendre dans toute la France.
Il transmet son savoir-faire à son fils Georges qui travaille avec son père jusqu'en 1946. Puis il crée un atelier au 56, rue Michelet où il emploie jusqu'à une dizaine d'ouvriers. Spécialisé en fauteuils en rotin tressé, il fabrique des salons pour les vérandas mais aussi des chaises longues, des fauteuils d'enfants ainsi que des paniers pour les fleuristes.
Trop à l'étroit dans ses ateliers, il acquiert en 1965 un immeuble au 60, rue de Lille. A l'arrière il installe son atelier qui s'ouvre au 29, rue Verte (actuelle rue du 11 Novembre).
Il travaille jusqu'en 1990, date à laquelle il cesse son activité.
13/4/2011.
Commentaire : Daniel Delafosse
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00771

Les rempailleuses de chaises et leurs apprentis, vers 1920.
Cette photo très ancienne montre comment, dans le calme d'une courée,
on s'initiait sur le pas de la porte à la technique du rempaillage.
      (photo n°  00771)
Les Rempailleuses de Chaises...
et leur Histoire.
La réputation de la chaise d'Halluin a plus d'un siècle. Elle a fait la renommée des chaiseries industrielles et artisanales de la ville. Elle le doit à la compétence certes des artisans et ouvriers du bois, mais surtout aux qualités exceptionnelles de ses rempailleuses de chaises.
Le métier par lui-même, célébré par Péguy dont la mère était rempailleuse, n'est pas nouveau. Déjà au XVIIe siècle, cette profession est mentionnée dans l'état-civil. C'est un métier difficile qui nécessite un très long apprentissage, un an et demi à deux ans, disent les anciennes.
Très tôt les enfants apprennent les premiers gestes, présenter la paille de marais, appelée finesse car la paille est très fine, dont la rempailleuse fait un cordon solide, et ce sont encore les fillettes qui donnent une paille à la fois à la rempailleuse, qui la coupe d'un coup d'ongle pour l'enrouler autour du cordon.
Il faut avoir vu les femmes assises, sur un siège très bas à côté de leurs fournitures, faire tourner la chaise une centaine de fois avec dextérité, et le paillage grandir en commençant par les coins jusqu'au milieu du siège, pour comprendre qu'il faut une grande force musculaire pour achever le paillage et le rendre très solide.
Le rempaillage s'exerce à domicile. On rempaille, en général, trois chaises ou prie-Dieu par jour. Les ouvrières belges, en grand nombre, ne peuvent emmener leurs chaises et fournitures en Belgique. Elles louent à trois ou quatre, parfois plus, une pièce chez l'habitant, si possible à proximité des chaiseries.
Elles occupent dans l'entresol des maisons la pièce occupée autrefois par le métier à tisser à omicile. Les habitants se serrent alors dans les autres pièces pour leur laisser le plus de place possible.
Certaines rempailleuses préfèrent cette solution, car le métier est salissant et la pièce principale bien encombrée de chaises et de fournitures, ce qui gêne beaucoup la vie familiale.
 
02525
Mme Denoyelle,
 rempailleuse de chaises à domicile. 
 (photo n°  02525)
Ce beau métier n'est plus guère exercé de nos jours, sauf par quelques artisans telle Madame Denoyelle et sa famille, qui perpétuent la tradition par amour du métier.
Madame Denoyelle ici en pleine actionmaintient solidement la réputation du rempaillage et du cannage de chaises. C'est l'un des plus anciens métiers pratiqués à Halluin, par des générations de rempailleuses.
Elle restait une gardienne expérimentée de ce travail traditionnel, qui fut l'un des fleurons de l'industrie locale halluinoise.
Malheureusement elle a quitté Halluin en 1995.
 
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Mme Vanheddeghem,  travaillant à domicile pour une société  de la rue du midi (rue M.Simono).   photo n° 02528
 

00807

Une rempailleuse à domicile,
Mme Pauline Verhulst,
   durant les années 50.  
 (photo n° 00807)
Pauline Verhulst était une excellente rempailleuse, métier qu'elle exerça toute sa vie.
Lorsqu'un client était particulièrement difficile, c'était à elle que l'on confiait le travail.
Elle habitait la Cour Porchet, et les habitants n'ont pas oublié sa discrétion et son passage journalier avec ses trois chaises, qu'elle transportait chaque jour par tous les temps.
6/3/2011.
Commentaire : Daniel Delafosse

02520

Le porteur de pain de l'Epi coopérative au 134, rue de Lille, en 1920,
M. Hector Dumoulin et son attelage avec voiture légère. 
 (photo n° 02520). 
 
Les Porteurs de Pain...
 
 
Au début du XXème siècle, le pain constituait la nourriture principale des halluinois, cela a conduit à une multiplication de boulangeries traditionnelles et familiales dans Halluin.
 
La coopérative "L'Epi" fut fondée en 1910 par des syndicalistes qui avaient repris la boulangerie de Mme Morel-Hennion, située au 134, rue de Lille.
Des voitures livraient à domicile des pains de 2 à 3 livres à travers Halluin. Chaque pain donnait droit à un jeton. Les jetons étaient ramassés en fin din d'année pour calculer la répartition de la participation aux bénéfices sous forme de ristournes.
 
Julien Calbert fut l'un des premiers porteurs de pain à domicile de la coopérative.
 
L'Epi est devenu un regroupement d'associations depuis novembre 1989.
 
Les derniers porteurs halluinois de pain à domicile furent : La Boulangerie Dochy rue de Lille et la Boulangerie  Vandebeulque rue des Frères Martel.
 
30/7/2010.
Commentaire : Daniel Delafosse
 

00716

 Julien Demeulenaere,
1er vendeur halluinois de téléviseurs,
au 121, Rue Gustave Desmettre, face à la M.J.C  d'Halluin.
 (photo n° 00716)
 
Julien Demeulenaere nous quittait le mercredi 6 mars 1991 dans sa 85ème année.

Fondateurs des Ets Demeulenaere installés durant de très nombreuses années rue Gustave Desmettre, « Julien » comme beaucoup aimaient à l'appeler et comme il appréciait être appelé, a très longtemps marqué de sa présence la vie associative de notre cité où il était très connu.

 

En rentrant de captivité, il s'installe dans son atelier rue des Ecoles (actuellement rue Gustave Desmettre) et devient le premier vendeur de Télévisions sur Halluin.  Il était radio-électricien.

En 1943, il était membre du comité d'entr'aide aux combattants et prisonniers halluinois.

Président d'honneur de la société des accordéonistes halluinois, il fut également, en sa qualité d'ancien combattant prisonnier de guerre 39-45, élu président d'honneur des anciens combattants de l'U.N.C.

 
Son esprit d'initiative, sa disponibilité et sa générosité valurent à M. Julien Demeulenaere d'être souvent sollicité par grand nombre de sociétés locales qui lui vouaient un profond respect.
 
3/6/2010. 
Commentaire : Daniel Delafosse
 
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Nous sommes près du parvis de l'église  au moment de la construction de la pharmacie Graye.
Camille Declercq, Emile Graye,Jean Maret.(actuellement No 18 place Abbé Bonpain). photo n° 01130