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Francis Ampe  Directeur de l'Agence d'Urbanisme

de Lille en 1990.

(Photo DD 12981  n° Img 055)

 

Francis Ampe : Itinéraire remarquable

d’un Halluinois aux multiples fonctions ! 

 

Francis Ampe est né à Halluin le 5 octobre 1944, 9ème enfant d’une famille de douze. Le jeune halluinois a mûri dans le milieu textile ; son père, Joseph, artisan, fabriquait des pièces détachées pour les machines à tisser.

 Après ses études secondaires à Armentières (Nord), il fait maths sup et maths spé au lycée Faidherbe à Lille. Puis il rentre à l’Ecole Centrale à Paris.

 

C’est à cette époque (1968) qu’il découvre les responsabilités. Francis Ampe est élu président de l’association des étudiants. Militant engagé et catholique de gauche, comme on disait, il fait le choix de s’occuper des hommes, des gens :

« C’est ce que j’ai fait toute ma vie au fond : m’intéresser à la dynamique de développement, à l’économique mais à travers les hommes. D’où les choix que j’ai faits ensuite de travailler sur des projets de développement dans le tiers-monde. J’ai passé pas loin de 10 ans de ma vie en Afrique ».

 

Ingénieur diplômé de Centrale (1968), il est spécialiste en mécanique des sols et construction de barrages. Après avoir étudié en outre en Sorbonne l’économie,il entre à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes et suit une formation assez éclectique de pédagogie des adultes et géographie humaine en Afrique ainsi qu’en psycho-sociologie (1969)

Ces diverses formations l’amènent à exercer des activités professionnelles fort diversifiées tant en France qu’à l’étranger et particulièrement en Afrique francophone.

 

De 1968 à 1973, Francis Ampe fut chargé de formation à l’Institut Culture et Promotion de Paris où il fit ses premières armes. Durant les deux années qui suivirent, il occupa le poste de directeur adjoint de l’institut panafricain pour le développement (I.P.D.) à Douala au Cameroun. Il y fut chargé de la coordination pédagogique de la formation de cadres moyens du développement.

 

En 1974, il revient en France, et pendant  près de quatre ans (1974-1977), il prend en charge la direction de la Maison de la promotion sociale de Chambéry (Etablissement départemental d’éducation permanente). Il y organise des stages et des cycles de formation, met en place la gestion d’un centre d’accueil et d’hébergement, installe un service d’information sur la formation continue, et effectue des travaux de recherche pédagogique et audiovisuelle.

 

Chambéry retint à ce point Francis Ampe, qu’il en devint le maire, aux élections municipales de 1977, porté par la vague rose.  

« J’étais depuis deux ans et demi à Chambéry, quand sont arrivées les élections municipales. J’étais au parti socialiste et nous avions créé des groupes de travail pour préparer le programme. Moi, j’avais surtout bossé sur les finances et l’urbanisme. 

Le P.S. avait choisi un candidat, mais à un peu plus de deux mois des élections, les militants ont décidé de me désigner. Ca m’a fait froid dans le dos… Je me suis jeté à l’eau et on a bâti une équipe municipale de copains, d’amis, très soudée.  

Nous sommes partis à l’aventure en y croyant. Au 2ème tour, on a été élus avec 1 % d’avance ; Je me retrouvais maire à 32 ans et quelques mois. 

A la mairie, j’ai tout appris. On a essayé de moderniser la ville. On l’a fait, je crois. On a mené des actions sur la ZUP, poursuivi la reconquête du centre-ville, élargi les zones piétonnes, fait la guerre à la voiture dans la ville… Je m’honore d’avoir résorbé le dernier bidonville de Chambéry. Deux ans et demi de boulot… Ca m’a sans coûté mon échec aux élections suivantes. 

 

Premier magistrat à plein temps, il géra la ville dont le budget s’élevait à 300 millions de francs et qui employait alors 1 500 employés.  

Pendant ce mandat de six ans, Francis Ampe siégea dans divers fauteuils : celui de président-directeur général de la Société d’aménagement de la Savoie (Groupe S.C.E.T., - Caisse des dépôts), celui de président de l’O.H.L.M. de Chambéry (5 000 logements), celui de président du conseil d’administration du centre hospitalier régional de Chambéry, celui de membre et de vice-président du conseil régional de Rhône-Alpes, celui d’administrateur du Centre de formation du personnel communal (C.F.P.C.).

Battu aux élections municipales en mars 1983, il en tire quelques leçons personnelles et abandonne l’activité politique : « J’avais 39 ans et je ne me voyais pas, pendant six ans, être le petit roquet de l’opposition. J’ai fait le choix de tourner la page et je suis reparti en Afrique ».

 

En effet, de juin 1983 à mai 1989, l’ancien halluinois, qui parle également l’anglais et possède des éléments de bassa, wolof et malgache, retourne à ses premières amours qu’il fait fructifier de son expérience.

Devenu Ingénieur en chef à l’IDET-CEGOS, division coopération, jusqu’en 1989, Francis Ampe fut consultant pour les questions de gestion municipale, d’aménagement du territoire, de gestion des finances publiques, d’organisation institutionnelle et technico-administrative.

 

Il passa trois ans à Madagascar comme chef de mission d’assistance technique du projet de développement urbain de Madagascar (Banque mondiale) où il dirigea une équipe de dix consultants permanents et conseilla la gestion de ce projet de 12 millions de dollars.

Ce spécialiste de l’assistance passa également dix-huit mois au Sénégal en tant que coordinateur du projet de développement urbain de Dakar, conseiller du président de la Communauté urbaine de Dakar et conseiller du secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur chargé de la décentralisation et du directeur des collectivités locales.  

Il séjourna également un an au Cameroun, chef du projet d’organisation du secrétariat général de la présidence de la République du Cameroun à Yaoundé.

 

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Le Cameroun et la ville de Nkong-Zem 

 jumelée avec Halluin depuis onze ans. 

Délégation halluinoise en visite - Mars 2007. 

(Photo Mairie DD 13114 n° Img 124)

 

Parmi les diverses études ponctuelles faites en France et à l’étranger, le nom de Francis Ampe apparaît à Lille. En effet, entre un diagnostic d’organisation des ministères de l’Education du Togo et l’organisation de la délégation aux risques majeurs du secrétariat aux risques naturels, il opéra le diagnostic et effectua la mise en place de structures opérationnelles décentralisées dans le cadre de l’organisation de mairies de quartier pendant quatre mois à Lille.

 

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 Francis Ampe et Pierre Mauroy Ancien Premier ministre, en 1990.

(Photo NE DD 13107  n° Img 101) 

 

De retour en France, c’est en juin 1989 que Francis Ampe devient directeur du développement local à la Caisse des Dépôts et Consignations à Paris, où il est chargé de mettre en place le financement de la politique de la ville.

« Cela n’a pas duré très longtemps, parce que j’ai rencontré Pierre Mauroy que je connais depuis 1977. Il m’a proposé et convaincu de venir travailler à Lille, et rapidement l’idée de l’agence d’urbanisme s’est imposée »

 

La nouvelle Agence de développement et d’urbanisme de l’agglomération lilloise est donc créée le 17 septembre 1990. Agé de 46 ans et père d’une famille de quatre enfants, Francis Ampe est nommé à la direction de cette nouvelle Agence d’urbanisme par M. Pierre Mauroy président de la Communauté urbaine de Lille. 

 

Homme du Nord, il revient dans le Nord. Fort de ce choix personnel qui ressemble bien à une conviction profonde. S’il a beaucoup bourlingué, Francis Ampe affirme avoir toujours été en relations et en contact avec les siens et sa région d’origine. Il disait notamment ceci à son retour dans la région :

 

« Je suis né à Halluin. Donc à 200 mètres de la frontière belge et j’ai vécu toute mon enfance, ma jeunesse sur cet aspect franco-belge. C’est une particularité. Et puis je suis frappé des contrastes dans cette métropole.  

Entre les dynamismes très forts et les zones de crise très importantes. Il y a des signes qui ne trompent pas à commencer par celui du marché immobilier. J’arrive, je cherche à me loger. Je regarde ce qui se passe et je constate des poches à des prix très élevés entourés d’autres zones à des prix très bas… 

On ne peut imaginer une métropole qui réussisse… à deux vitesses. Pour réussir il faut accepter d’envisager la vision globale de cette agglomération. On utilise les mots développement et urbanisme parce qu’individuellement chacun de ces termes est insuffisant. 

Il y a désormais une volonté d’approche globale pour ne laisser personne au bord du chemin. Dans l’attractivité d’une ville intervient une unité d’image. Les zones de pauvreté engendrent des problèmes graves : délinquance, drogue, etc. Une ville qui veut aller de l’avant ne peut accepter cela.

 

(…) Nous n’avons pas de frontière dans notre réflexion sur cette métropole et son développement. Je me place dans la perspective de 2010. 

2010 : cela fera 17 ans que la frontière franco-belge aura disparu en 1993. Quelles seront alors les préoccupations des habitants ? C’est à ce type de questions que nous avons à répondre. Manifestement ce sera à ce moment une ville, une zone urbaine qui englobera une partie française et une partie belge D’entrée de jeu, donc, nous ne nous interdirons pas d’intégrer cet aspect « belge » dans notre réflexion jusqu’à ce que cela devienne une évidence.

 

(…) La mise en chantier d’un nouveau SDAU (Schéma directeur d’aménagement et d’urbanisme) sera une des premières missions de l’agence. Mais pour faire un SDAU il faut savoir où on veut aller et donc définir une stratégie. Donc, bâtir et proposer celle-ci sans que ça ne soit l’apanage de quelques-uns mais bien un projet partagé par une majorité de partenaires qui décident et l’arrêtent. 

Après seulement on fait le SDAU. Se battre entre nous pour savoir où mettre telle ou telle activité, ce n’est pas faire une métropole. C’est tous ensemble qu’il faut agir face aux pôles concurrents que sont les agglomérations parisienne et bruxelloise afin d’établir ces nouvelles lignes de force qui seront la réalité de demain ».

 

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Le SDAU voté en Février 1994 par la Ville d'Halluin.

(Photo Mairie DD 13115  n° Img 085)

 

Pendant sept ans, l’équipe pluridisciplinaire qu’il avait mise en place a travaillé à ’élaboration de ce SDAU (soit 80.000 hectares et 125 communes à réconcilier avec l’urbanisme) qui fit couler tant d’encre. L’ADU a relancé des projets comme la Porte des Flandres à Tourcoing, celle des Anglais à Armentières, l’aménagement du canal de Roubaix. 

Francis Ampe est resté aussi un des fervents défenseurs du Grand Lille, une véritable métropole franco-belge illustrée par le fameux ring transfrontalier, et son anneau du contournement sud.

 

En 1991, lors d’une conversation, entre Francis Ampe et l’universitaire Charles Gachelin, est née l’idée de déposer la candidature de Lille pour l’organisation des Jeux Olympiques de 2004.

« On étudiait les conditions pour faire de Lille une métropole internationale. On s’est dit que pour y arriver, il fallait quelque chose de grand. Un véritable évènement. C’est là que l’idée des Jeux a germé et le mot a été prononcé pour la première fois en 1991 ! rappelle Francis Ampe nommé Délégué général de cet extraordinaire projet, dont il fut le véritable animateur et un militant passionné de l’olympisme. 

Malgré quatre années d’efforts, le dossier lillois échouait aux portes de la finale, qui devait désigner Athènes comme la ville organisatrice des Jeux de 2004.

 

Le 1er octobre 1999, notre halluinois quitte la métropole lilloise pour la DATAR, direction de l’aménagement et du territoire.  

Nommé conseiller auprès du délégué général, Jean-Louis Guigou, il sera chargé du développement urbain. Il aura en particulier en charge, la mise en oeuvre du volet urbain de la loi Voynet sur la création des communautés d’agglomération.  

Il préside également le département « Ville-environnement -transport » de l’ENPC (Ecole nationale des ponts et chaussées) de 1999 à 2004. 

 

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 Francis Ampe à Halluin en 2006.

(Photo DD 13113 n° Img 004) 

 

En 2004, Francis Ampe sera chargé du développement à la nouvelle direction interrégionale Méditerranée de la Caisse des dépôts.  

Puis en 2005, il est Conseiller auprès du Comité d’évaluation et de suivi de l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine).

En 2008, il a été élu conseiller municipal de Dullin et vice-président dela Communauté de communes du Lac d’Aiguebelette (Savoie).

 

Francis Ampe est l’auteur du livre « Les agglomérations » paru en 2001, ainsi que celui intitulé « La République des Villes » édité en 2002 associé à Claude Neuschwander.

 

 

En 2016 : Mise à Jour de son CV :

 

Francis Ampe né le 5 octobre 1944 à Halluin (Nord)

Consultant international en urbanisme et projet urbain, stratégie et aménagement du territoire. EDR

 

Ingénieur de l'Ecole Centrale de Paris (1968)

Ancien maire de Chambéry et conseiller régional Rhône Alpes

Membre de l’Académie d’architecture

 

Formation complémentaire en économie et psychosociologie à l'Ecole pratique des hautes études – Sorbonne et au Collège coopératif (Paris) (1969-70)

Formation au management et à la direction générale d’entreprise : CEGOS (1984-85)

 

Je suis aujourd’hui retraité. Président de l’association « Les Nuits d’été » qui organise 2 manifestations musicales annuelles sur l’Avant pays savoyard : le Vacarme de printemps (en avril, pour les enfants des écoles) et le Festival des Nuits d’été (2 semaines de concert en aout). Je suis également engagé dans un programme de formation d’urbanistes en Haïti auprès du Comité interministériel d’aménagement du territoire dans le cadre de l’association AGIR abcd.

 

Références professionnelles en qualité de consultant :

 

  • Union sociale pour l’habitat : prospective territoriale : mise au point d’un plan d’action régionalisé de qualification des cadres du mouvement Hlm en prospective territoriale. Travail approfondi avec l’ARRA, association régionale Rhône Alpes.

 

  • Marseille Provence Métropole – Direction DUFH : Schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Communauté urbaine de Marseille en association avec ALGOE, rédaction du Projet d’aménagement et de développement durable (PADD) et élaboration du document d’orientation et d’objectifs (DOO). 

 

  • Ville de Montpellier : assistance à maîtrise d’ouvrage pour l’élaboration du projet urbain de la ville

 

  • Ateliers internationaux de maîtrise d’œuvre urbaine (Cergy) : chef de projet de l’Atelier de Casablanca – Anfa en 2006 et de celui de l’extension d‘Euroméditerranée à Marseille en 2007. Participation en qualité d’expert et de membre du jury des Ateliers projet urbain de Shanghai, Tokyo, Ho Chi Minh ville, delta du Mékong, Saint Louis du Sénégal ainsi que de l’Ile de France.
  • Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine : conseiller du Président du Comité d’évaluation et de suivi. (2005-2007) puis conseiller de la direction de la coordination du programme pour la mise en œuvre des points d’étape des conventions de rénovation urbaine (2007-2009).

 

  • Algérie : Ministère de l’aménagement du territoire de l’environnement et du tourisme: élaboration du Schéma directeur de l’aire métropolitaine (SDAAM) de Constantine et de celui d’Annaba, directeur de projet (2008-2009)

 

  • Euroméditerranée : lancement d’un réseau de professionnels méditerranéens de l’urbanisme, à l’occasion du symposium mondial de la recherche urbaine organisé à Marseille en juin 2009. Constitution d’une base de données des grands projets urbains des villes de l’Union pour la Méditerranée.

 

Activités pédagogiques :

 

Chargé de séminaires d’urbanisme et d’aménagement du territoire à :

-      ISCAE (Casablanca) en association avec l’ESSEC Mastère Villes et territoires.

-      INAU (Rabat) cycle de formation de cadres supérieurs à l’Aménagement du territoire

-      l’IUAR (Université d’Aix-Marseille) : mastère d’urbanisme

-      Euromed-Marseille Ecole de management : mastère habitat, urbanisme et politique de la ville (MHUPV)

-      ESSEC (Paris) Chaire d’économie urbaine : cours d’urbanisme et aménagement

-      Marseille Provence Métropole – Direction DUFH : cycle de formation des collaborateurs de la DUFH sur l’intégration des enjeux et des pratiques du développement durable dans leur activité professionnelle (2008)

 

Activités antérieures en qualité de salarié :

  • Caisse des dépôts et consignations  Direction Interrégionale Méditerranée : de janvier 2003 à janvier 2005: chargé du développement international en Méditerranée.
  • DATAR : d’octobre 1998 à décembre 2002 :  Conseiller pour le développement urbain durable; mise en œuvre de la loi Voynet et des contrats d’agglomération; membre du groupe des experts urbains de l’union européenne; vice président du Comité de développement des politiques territoriales de l’OCDE.
  • Activité d’enseignement supérieur : Ecole Nationale des ponts et chaussées (Paris) : Président du Département « Ville, Environnement, Transports » de janvier 2001 à décembre 2004.
  • Agence de développement et d’urbanisme de Lille Métropole : Directeur général de 1990 à 1999. Direction de plus de 500 travaux pluridisciplinaires mené par une équipe de 40 personnes dans le cadre de la révision du SDAU (Schéma directeur de développement et d’urbanisme) de Lille Métropole : stratégie, prospective, aménagement, urbanisme, habitat, politique de la ville, culture, relations internationales et transfrontalières etc.

Relations étroites avec les partenaires publics et privés du développement notamment

la société d’aménagement Euralille

Co-fondateur du Comité grand Lille, initiateur de la candidature de Lille aux JO de 2004

  • Délégué général de la Candidature de Lille aux JO de 2004: (1994-1997)
  • Caisse des dépôts et consignations : directeur d’études (1989-1990); mise en place du financement des projets urbains et de la politique de la ville mise en œuvre par la Délégation interministérielle de la ville; secrétaire général du programme "Développement et solidarité"
  • CEGOS-Coopération: (1983-1989) ingénieur en chef; chef de mission de « projets de développement urbain » de la Banque mondiale (planification urbaine et mise en œuvre de projets de développement)   au Sénégal (18 mois) et à Madagascar (36 mois); conseil en organisation auprès de la Présidence de la République du Cameroun
  • Directeur de la Maison de la Promotion Sociale de Savoie (1974-1978) établissement départemental de formation permanente : direction pédagogique, centre d’information et de documentation sur la formation, gestion hôtelière
  • Directeur adjoint de l’Institut panafricain pour le développement à Douala Cameroun (1972-73) : centre de formation panafricain francophone et anglophone pour des cadres moyens et supérieurs du développement rural et urbain en situation de promotion professionnelle et de formation continue
  • Chargé de formation à l'Institut Culture et promotion (Paris) (1969-1972) : animation et encadrement de nombreux stages et séminaires en économie et psychosociologie en France et en Afrique noire.

Anglais : lu, écrit, parlé 

 

Responsabilités électives 

 

  • Maire de Chambéry et Conseiller régional de la Région Rhône-Alpes (1977-1983) Vice-président du Conseil régional; président de la société d’équipement de la région de Chambéry (SERC) puis de la société d’aménagement de la Savoie (SAS)

 

  • Conseiller municipal de Dullin (2008-2014), Vice-président de la Communauté de communes du lac d’Aiguebelette (Savoie), Vice-président du Syndicat mixte de l’avant-pays savoyard chargé du SCOT,  Administrateur du CAUE de Savoie et Président de la Mission développement et prospective de Savoie.

Publications

-          Lille-Métropole, un siècle d’urbanisme et d’architecture (1890-1993) Ouvrage collectif, éditions du Moniteur (1993)

-          La république des villes avec Claude Neuschwander, éditions de l’Aube, collection « La bibliothèque des territoires » (DATAR) (2002)

-          Les agglomérations, la Documentation française, collection « Territoires en mouvement » (DATAR) (2002)

-          Euroméditerranée-Euralille : vrais-faux jumeaux dans Urbanisme, N° 365,  mars-avril 2009

 

 

Voir aussi... Cliquez ci-dessous : 

Francis Ampe, un halluinois devient maire de Chambéry

Francis Ampe désigné l'Homme de l'année 1995 (La Voix du Nord).

Francis Ampe (Ancien Halluinois aux multiples fonctions !).

Candidature aux J.O. de Lille 2004 (Montre).

Les Olympiades et Halluin 6/7 (Francis Ampe - Lille 2004).

Les Halluinois et les Jeux Olympiques de 1932 à 2008.

 

 

9/8/2012 - 27/1/2016

Commentaire et Photos : Presse - Documentations - Daniel Delafosse