La douane a bien changé
VDN.10/05/1985.BD6238
(photo 8411-d/Douanes)
(photo 8412-ad/Douanes)
Le bureau des douanes françaises, 1 rue de Lille, sous différents angles.-
Des douaniers du bureau d'Halluin route, rue de Lille, posent devant la barrière.-
(photo 8409-ad/Douanes)
(photo 8410-ad/Douanes)
La route de contournement par l'est d'Halluin en construction. Les nouveaux
bureaux des douanes françaises et belges ainsi que les agences en
douane pourront bientôt s'installer. Les formalités douanières ne
s'effectueront donc plus rue de Lille mais dans ce nouveau complexe.-
(photo 8362-ad/Douanes fb)
A la frontière, un jour sans travailleur frontalier, sans bus, ni camion mais des automobiles qui reviennent de Belgique ( un dimanche à la mer peut être ?)
(photo 8405-ad/Douanes)
La présence des gardes mobiles s'explique par la fréquence des grèves et des mouvements revendicatifs entre 1921 et 1938; pleinement soutenu par la municipalité communiste, le Syndicat unitaire ( C.G.T.U.) mène un combat virulent contre le patronat textile.(extrait du livre "un siècle d'histoire ouvrière à Halluin 1840-1940 de Dominique VERMANDER)
(photo JM 0844 & AL 00489)
Août 1930 - le poste frontière d'Halluin, rue de Lille, sous la surveillance des gardes mobiles.-
(photo AD 0194)
BD15244
Août 1930 - Contrôle d'identité par les gardes mobiles au poste des douanes d'Halluin.-
(photo AD 0193)
(photo JM 0917)
(photo 8399-ad/Douanes)
Automobiles cherchant un passage parmi les camions en attente de dédouanement,
allées et venues des piétons, voici le quotidien à la frontière d'Halluin.-
(photo 8400-ad/fb)
(AD 1176)
Il fut un temps où importer où même exporter etaient très règlementés.
Même les piétons pouvaient être contrôlés voire fouillés.
A Menin (Baraques), le bureau des douanes belges avec un
aperçu de la rue de Lille.-
(photo 8322-ad/Menin)
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