La présence des gardes mobiles s'explique par la fréquence des grèves et des mouvements revendicatifs entre 1921 et 1938; pleinement soutenu par la municipalité communiste, le Syndicat unitaire ( C.G.T.U.) mène un combat virulent contre le patronat textile.(extrait du livre "un siècle d'histoire ouvrière à Halluin 1840-1940 de Dominique VERMANDER)
(photo JM 0844 & AL 00489)
Août 1930 - le poste frontière d'Halluin, rue de Lille, sous la surveillance des gardes mobiles.-
(photo AD 0194)
BD15244
Août 1930 - Contrôle d'identité par les gardes mobiles au poste des douanes d'Halluin.-
(photo AD 0193)
(photo JM 0917)
(photo 8399-ad/Douanes)
Automobiles cherchant un passage parmi les camions en attente de dédouanement,
allées et venues des piétons, voici le quotidien à la frontière d'Halluin.-
(photo 8400-ad/fb)
(AD 1176)
Il fut un temps où importer où même exporter etaient très règlementés.
Même les piétons pouvaient être contrôlés voire fouillés.
A Menin (Baraques), le bureau des douanes belges avec un
aperçu de la rue de Lille.-
(photo 8322-ad/Menin)
VDN.03/03/1976.BD5349
VDN.27/10/2002.BD5345
VDN.BD5344
Passage d'un énorme camion de lin à la frontière, rue de Lille.
(photo JM 0735- ad)
VDN.1/12/2015.BD5108
VDN.28/04/2013.BD5107
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