Ecole Notre Dame des Fièvres d'Halluin,
les enseignants et les aides maternelles.
De gauche à droite : Mlle Anne-Marie Delannoy, Mme Thérèse Saint Venant,
M. Jean-Luc Deroo, Mme Marie-Françoise Derhille, Mlle Françoise Destombes,
Mme Annie Danset , Mlle Andrée Lecoutère, et deux agents communaux :
Mme Simone Wyllemyns (2ème) et Mme Noëlle Vanoverschelde (4ème).
(photo n° 05452)
Jean-Luc Deroo... du Maître au Maire.
Jean-Luc Deroo, professeur de lettres, arriva à Halluin en 1977 et dirigea pendant vingt ans l’école Notre-Dame des Fièvres à Halluin, jusqu’à la rentrée 2000. Ces premières années dans l’enseignement il les passa à Dunkerque et à Lille.
Il occupa également, pendant 8 ans, des responsabilités importantes à la tête du syndicat CFDT de l’enseignement privé. Son père a participé à l’élaboration de la loi Debré sur les rapports Etat-écoles privées.
En Mai 68, il était du côté des barricades. Il débutait dans l’enseignement et entrait dans la vie active. Comme il le dit : « Une entrée forcée puisque j’étais le deuxième d’une famille de douze enfants, et je devais « ramener l’argent à la maison » comme l’on dit. Sinon j’aurais choisi autre chose ».
Son souhait était de devenir chirurgien. Tout en ayant effectué une carrière dans l’enseignement littéraire et la philosophie, l'ancien directeur d’école dit aussi être d’un tempérament scientifique, aimant la biologie et la chimie.
Aux élections municipales de mars 1989, il devient le second adjoint de M. Alexandre Faidherbe Maire d’Halluin. Réélu depuis cette date, Jean-Luc Deroo est nommé au fauteuil de Premier Magistrat de la ville d’Halluin le 25 mars 2001. Il est reconduit dans ses fonctions de Maire le 23 mars 2008.
Marié et père de quatre enfants, il est Vice-Président de Lille Métropole Communauté Urbaine et, actuellement, Président du syndicat Lys Nord Métropole.
Jean-Luc Deroo est aussi un enfant de parents enseignants comme son épouse Marie Deroo, actuelle Conseillère Générale du Nord, qui débuta sa carrière également comme institutrice en 1959.
5/7/2010.
Commentaire : Daniel Delafosse