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Il y a 45 ans, en 1978...

Albert Louf Nous Quittait :

 

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 Le Docteur Albert Louf (1891-1978).

(Photo X DD 8928  n° Img 486)

 

Le Docteur Albert Louf...

Une Personnalité et Un Personnage. 

 

" J’ai eu la chance de pouvoir côtoyer et apprécier le docteur Albert Louf ; comme la plupart des maires qui ont présidé aux destinées de la ville, il faisait partie de ces « personnages » qui ont laissé une trace indélébile dans la mémoire de plusieurs générations d’halluinois ; ils aimaient passionnément leur ville et se sont dévoués sans limite, parfois  dans des périodes exceptionnelles, cruciales et souvent douloureuses, à travers leurs différentes activités, au service d’une population toute entière." 

Le 3 avril 1991, jour du centième anniversaire de sa naissance, je rendais un hommage appuyé, dans la presse, à cet homme qui a profondément marqué la vie locale : 

"En effet, comment ne pas rappeler ici la place considérable que le docteur Louf a tenue à Halluin, durant plus d’un demi-siècle, « sa ville qu’il connaissait sur le bout des doigts ». Homme de bien, de devoir, c’était le médecin de famille par excellence, une profession qui pour lui était une vocation, presque un « sacerdoce ».

 

En janvier 1974, le journaliste Albert Desmedt résumait en quelques mots ce que fut pour beaucoup d’halluinois, le médecin, l’homme ou l’ami qui quittait Halluin en 1973, après cinquante-trois années de bons et loyaux services : 

« Ce jeune homme de 83 ans droit comme un I, traversant la chaussée au pas de chasseur, sautant dans sa voiture, infatigable de jour et de nuit, brillant et pétillant d’esprit dans les conversations, tout le monde l’aura reconnu. C’est évidemment le Docteur Louf.  C’est tout à la fois une personnalité et un personnage ; un homme exceptionnel de verdeur d’allant et d’enthousiasme ; il a admirablement rempli sa tâche, avec tout ce que cela suppose de travail, de difficulté et d’énergie ».

 

Albert Louf est né le 3 avril 1891 à Saint-Pierrebrouck (Nord). En 1909, il entre à la faculté libre de Lille pour y poursuivre de brillantes études de médecine. Il y décroche la médaille de bronze de la faculté des sciences et de médecine.

La guerre de 1914-1918 survient et durant ces quatre années de guerre, il accomplit son devoir de soldat, là où ses connaissances médicales l’imposent, c’est-à-dire au service de santé d’une des vaillantes unités du front. Médecin major, s’il était parfois, pour certains, l’homme à la « consultation motivée », il était pour tous, dans les circonstances les plus graves, les heures les plus pénibles, le sauveur compatissant et consolateur, quand ce n’était, trop souvent hélas, l’ultime confident.

Ce rôle, il l’accomplira de 1914 à 1918 avec tout son cœur, son dévouement à toute épreuve au mépris de tous dangers, ce qui lui vaudra plusieurs citations, la Croix de Guerre, et la promotion au grade de Chevalier de la Légion d’Honneur à titre militaire, le 31 décembre 1939.

A cette époque, il était, évidemment, devenu un véritable Halluinois d’adoption, depuis septembre 1920, date de son installation, après avoir achevé ses études à la faculté de médecine de Paris. 

 

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Ordonnance en 1921.
rue du Chateau:actuelle rue Jean Jaurès.

(Photo doc AL 4474) 

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Ordonnance en 1931.

(Photo doc AL 4475)  

 

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Années 1950 : La rue de Lille, centre ville Halluin...

à gauche de la photo, l'habitation et le Cabinet Médical du Docteur Albert Louf.

(Depuis 1984, emplacement de la Résidence du Centre).

(Photo n° 5405)

 

Une seconde fois, la patrie faisait appel à ses services en septembre 1939 ; avec quelques-uns  de ses anciens camarades de la Grande Guerre, avec la multitude des nouveaux mobilisés, il répondait « présent ». Cette drôle de guerre est pour lui une période d’intense activité.

Le Commandement militaire lui ayant confié les fonctions de médecin-chef de l’hôpital de Calais, il déploie là ses grandes qualités d’organisateur, prévoyant jusqu’au plus petit détail, et faisant de ce grand établissement un hôpital modèle et moderne, appelé à remplir dans les conditions les meilleures et les plus rapides, le rôle qu’en attendait le service de santé militaire. 

Les circonstances ont voulu que ce rôle fut bien éphémère. La foudroyante offensive allemande, anéantissant en quelques heures, les fruits d’un labeur de plusieurs mois, le surprit en plein travail, soignant avec un extrême dévouement les nombreux blessés, sous un effroyable bombardement.

Cette situation tragique lui valut, par la suite, une élogieuse citation et l’attribution d’une seconde Croix de guerre avec étoile d’argent.  

 

Fait prisonnier le 26 mai 1940, Albert Louf fonde à Givet un hôpital d’éclopés pour les colonnes de prisonniers de toutes nationalités, avant de devenir médecin-chef de l’hôpital de prisonniers de Charleville-Mézières. 

 

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 Albert Louf (assis) entouré de Militaires Halluinois :

de gauche à droite : Aimé Bosteels, Jules Brutin, Cyrille Dewerte, Léon Meunier.

(Photo n° 3015 et pop AL0088)

 

Démobilisé fin 1940, il rentre à Halluin où durant les quatre années d’occupation ennemie, il fit face avec calme, sang-froid et dignité aux vexations de l’occupant. Plus que tout autre, témoin des conséquences de la guerre, des privations et souffrances de toute une population, son cœur généreux et son dévouement à toute épreuve ont prodigué non seulement soins matériels, mais aussi le réconfort de ses encouragements, de ses consolations et de sa foi en la victoire finale.

Et quand pour la ville s’approche la délivrance, quand partent les premiers coups de feu de nos F.F.I, Albert Louf est là présent, redevenu le médecin militaire donnant ses soins aux blessés, sans le moindre souci de danger.  

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Albert Louf et Maurice Schumann, quelques mois 

après la Libération d'Halluin de septembre 1944.

(Photo  n° 3038) 

 

A la Libération, Albert Louf est président fondateur du M.R.P. d’Halluin

et, à ce titre, accueille le 3 mars 1945 

Maurice Schumann, porte-parole de la France Libre,

au cours d’une réunion mémorable, salle du Manège. 

 

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Le 1er assis, Albert Louf, à sa droite, Maurice Schumann,

le 3 Mars 1945, salle du Manège Halluin.

(Photo X DD 8927  n° Img 037)

 

Si son rôle de médecin militaire fut très important, son activité civile ne le fut pas moins. Retenons qu’à Halluin, rien ne le laissait indifférent. 

Ce furent d’abord les divers services médicaux de la ville, qui sous son impulsion et ses directives, ont pris une importance considérable : goutte de lait, consultation des nourrissons, visites médicales des indigents, des écoliers, œuvre du dispensaire etc, ont bénéficié de son inlassable et dévoué concours. Sans omettre ses études, rapports, démarches et interventions en vue de doter la ville d’une clinique maternité, espoir que des circonstances bien indépendantes de sa volonté réduisirent à néant.

Médecin de l’administration des douanes, de la gendarmerie, de la S.N.C.F., le docteur Louf est élu par ses pairs au conseil départemental de l’ordre des médecins en 1948, accomplissant la délicate fonction de trésorier. Il effectue trois mandats de six ans, en achevant sa tâche comme vice-président, parallèlement avec celle de président de la commission départementale de Sécurité sociale. Les pouvoirs publics reconnaissent ses éminents services, en lui décernant la croix de Chevalier de l’Ordre de la Santé publique. 

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Impressions d'un voyage au Congo Belge,

début des années 1950 par Albert Louf.

(Doc 4340)

 

Par décret paru au Journal Officiel du 3 janvier 1960,

Albert Louf est élevé au grade d’Officier de la Légion d’Honneur.

 

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  En 1960, Albert Louf fait Officier de la Légion d'Honneur. 

(Photo X DD 8974  n° Img 903)

 

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 A la famille Delafosse.

(DD  n° Img 581)

 

Pour le docteur Louf, l’heure n’existait pas tant qu’il y avait quelqu’un à soulager ; quand on lui demandait le secret de son éternelle jeunesse, il souriait tout simplement. Ce qu’on peut dire c’est qu’il était un adversaire de la suralimentation et de la sédentarité ; il conseillait souvent la marche à pied, et consentait à dire, que trop souvent, on se moquait des principes, des règles de la raison, alors que celles de la nature restent intangibles, que le soleil continue de se lever à l’est, et que les lois de la pesanteur n’ont pas changé !

Pour lui la jeunesse n’était pas un stade de la vie, mais un état d’esprit ; et comment ne pas parler de l’espérance qui était en toutes circonstances sa manière d’être. 

« La vie est un combat. Je l’ai maintes fois répété, dans une houle, il est parfois difficile de remonter le creux de la vague, sachez que l’espérance est la plus grande richesse de la terre ; on ne le répètera jamais assez », avait-il déclaré. 

 

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Le Docteur Albert Louf en 1954.

(Photo X DD 8581  n° Img 481) 

 

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 Vitrail d'origine de l'Eglise Saint Hilaire Halluin centre.

(Photo DD  n° Img 577) 

 

Le Docteur Albert Louf est décédé à Lille, le 19 janvier 1978, dans sa 87ème année. Lors de ses funérailles, l’église Saint-Hilaire contenait difficilement la foule de ceux qui l’estimaient et lui portaient affection. Le curé-doyen Lommez évoqua la mémoire d’Albert Louf, qui fit preuve d’un courage incommensurable jusqu’à son dernier souffle.

« Ce n’est pas seulement une grande figure halluinoise qui disparaît, pas seulement un médecin exemplaire, un membre à part entière de la communauté paroissiale, mais un grand ami, un confident qui a partagé les joies et surtout nos souffrances. Un ami qui a usé sa vie jusqu’au bout au service de ses frères…  Pour lui, la vie n’avait de sens que par son contenu d’amour ». Le doyen rappela alors ses dernières paroles : "Je m’en vais, je vais rejoindre tous les miens ".Albert Louf a été inhumé au cimetière d’Audruicq (62370).

 

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Le Monument aux Morts du Cimetière de la commune d'Audruicq (62370).

(Photo Presse DD  n° aud) 

 

Aussi, il convient d’associer à ce témoignage, son épouse disparue qui, avec tant de calme et de résignation, fut toujours sa compagne discrète mais efficace, supportant les épreuves et les sacrifices, et qui permit à son mari, par ses renoncements journaliers, d’être aussi pleinement à tous. 

 

Image Mortuaire

(Doc 04341)

 

Petite précision le Docteur Albert Louf

est le grand-père du Docteur André Louf (Président de l'ARPH)

 qui lui succéda comme médecin sur Halluin, jusqu'en octobre 2011.

 

ARPH 1989 01853

Le Docteur André Louf, président de l'association "A la recherche du passé d'Halluin",

 remet un livre "Halluin images d'Autrefois" (Tome 1)

 à Alexandre Faidherbe, Maire d'Halluin, le 12 mai 1989, lors d'une réception en Mairie.

(NE DD  n° lou)

 

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Louf schumann 3 mars 1945 03035

Publication "Voix du Nord" le 3 Avril 1991.

(VdN DD  n° Img 142 - 143 - 578 - Lou))

(Vous pouvez laisser un commentaire, en cliquant ci-dessous, à gauche).

  

Voir aussi... cliquez ci-dessous : 

Albert Louf Fait Chevalier et Officier de la Légion d'Honneur... en 1939 et 1960.

André Louf et la Médecine : Une Histoire Familiale (Mai 2019).

Maurice Schumann et les Halluinois (Rétrospective de 1945 à 2002).

Funérailles des FFI le 7/9/1944 (Les Résistants halluinois de l'ombre).

 

Commentaires sur Facebook : 

Jacques Claerbout Merci Daniel pour ces souvenirs

Marie Canar Merci Daniel sacrés souvenirs du Docteur Louf medecin de les parents. Un grand personnage que l'on n'oublie pas. Un homme très dévoué. Ma grand-mère qui buvait du lait battu lui dit : "C'est très bien , continuez de prendre ce breuvage, c'est très bon pour la santé, moi même j'en boit tous les soirs ". Avait-il dit..

Christine Bouttery Super souvenir bel hommage

Marie France Courdent Je me souviens bien.........

Ghislain Vercruysse J' ai un souvenir d' enfance arcade sourcilière ouverte cousu par le docteur Albert Louf un médecin exemplaire

Pierre Parent Magnifique ce reportage. C’est le docteur qui m'a mis au monde c'était un médecin de terrain on avait avec lui une grande confiance on garde de lui un très bon souvenir Monique

Marie-Paule Heiblé Notre médecin de famille... Enfant, je me souviens de ses étranges lunettes : un pince-nez. Médecin de mes parents et de mes deux paires de grand-parents.Le mien aussi, jusqu'à ce que son petit-fils prenne la relève : André Arph  C'était un fin lettré, il aimait parler littérature avec moi. Grand bonheur de le voir à notre mariage en août 1977, quelques mois avant qu'il nous quitte... Un très grand homme. Une immense figure d'Halluin... À l'époque où la couverture sociale et l'aide aux personnes en difficulté n'étaient pas ce qu'elles sont maintenant, non seulement il refusait de se faire payer par ceux qui "n'avaient pas les moyens" mais il leur achetait en hiver des sacs de charbon pour être sûr qu'ils ne prennent pas froid. Et pour ne pas les mettre mal à l'aise, il leur disait : " Vous allez me payer autrement : donnez-moi une bouture de votre magnifique plante, là sur votre appui de fenêtre..."

Patrick Splete Il était dans les années 50 notre médecin de famille.Un homme de cœur.

Evelyne Sulmon Bien rare un homme comme ça..

Sarah Sasa Ce genre de personne manque cruellement... Quand on pense que beaucoup ont les moyens d'aider et ne le font pas.

Marie Paule Graer Très beau témoignage !

Francine Vanoverberghe Quand j' avais 5 ans ma mère a frôlé la mort (congestion pulmonaire) et notre médecin que j' eu jusqu'à mes 20 ans,, passait la nuit à la veiller, sans nous faire payer, ds une maison sans eau ni électricité. Il se déplaçait à vélo. Hommage !

Christiane Boutemy il était notre medecin de famille à ms grands parents et parents et à moi même

Arnaud Blieck Mon docteur quand j était petit .... il était déjà vieux à époque

Patrice Vroman pareil pour moi lol  maintenant c est nous les vieux

Marylise Verroye il avait mis ma mère au monde puis moi et enfin mes filles super docteur à toute heure du jour ou de la nuit semaine week-end ou jour férié il était toujours là

Marie Claude Verschae Très bon docteur on pouvait compter sur lui.Maintenant c est autre chose helas

Nadine Petit Oui c'était un très bon médecin, toujours là et même le dimanche

Alain Laflaquière Je me demande ce qu’il aurait pensé de cette pandémie

Sylvaine Carlier Notre médecin de famille lorsque j'étais petite.

Annie Moreno Feys mon docteur de famille

Dolores Méndez Torrès Un très bon docteur très humain et disponible pour ses patients

Frédéric Boone Il a accouché un bon nombre de femme

Rosa Vankesbeulque nous aussi

Nanie Cricri Pendant la guerre il m’a sauvé la vie.il a été toujours dans ma tête et dans mon cœur 

Isabelle Penninck - Dekmeer Mon premier médecin... il a accouché ma maman

Mauricette Wulstecke Ils nous a mis au monde mes soeurs mon frère et moi

Francine Lagrange Notre médecin de famille j'en garde un excellent souvenir

Annie Terrein merci pour ce souvenir nous en gardons un bon souvenir

Francine Dupisson un grand monsieur bon souvenir

Ghislain Vercruysse Excellent souvenir un médecin proche de ses patients ,merci

Solange Vanwelsenaers C était notre docteur

Ghislain Declercq Le docteur Louf Albert était mon médecin de famille, ainsi que son petit fils,le docteur André Louf .

Marie-France Scalbert Une Figure d’Halluin, un Homme comme on n’en fait plus. En tant que médecin il était exemplaire, jamais je ne l’oublierai. 

Roberthe Guy Jolly Mr le docteur Louf , m'a sauvé la vie quand j'avais 18 mois , il a soigné jour après jour à la maison , les brûlures aux 2 bras et 2 mains et autres " 3ème degré " que je m'étais faites en faisant basculer une casserole de ragoût bouillant sur moi . Merci Docteur

André Bonnel C'était un humaniste ! un grand monsieur ! 

Bernadette Dhalluin Un grand médecin.

Commentaires sur Facebook 2023 :  

Alain Laflaquière Je pense qu’il ne pourrait même pas imaginer ce qu’ Halluin est devenu…

Christine Descamps Le parfait médecin de famille.....respect à vous Docteur!

Marie Canar Un médecin exemplaire et un grand monsieur se dévorant pour sa ville. Il mérite cet honneur....

Marie Claude Verschae Très bon médecin de famille.

Sylvaine Carlier Notre médecin de famille, lorsque nous étions enfants.  Il m'impressionnait par sa grande taille.

Marie-France Scalbert Merci Daniel pour ce reportage qui nous rappelle combien le Docteur Louf a été présent dans nos vies, c’est un Homme exemplaire que je ne peux oublier.

Kiki Debonnet Ça été mon docteur pendant des années 

Christine Quaegebeur J'ai pas connu le père mais le fils était le médecin de ma maman nous n'avons pas de nouvelles suite à son accident lui aussi et dévoué pour Halluin

Marylise Verroye Christine Quaegebeur c'était son petit-fils

Ghislain Vercruysse Notre médecin de famille toujours disponible Un exemple

Jacques Mahieu le docteur qui m'a mis au monde !!

Béatrice Hasbroucq Merci Daniel pour ce très bel hommage ! Un TRÈS grand homme !

Michele Catteau que de souvenirs excellent médecin merci

Christiane Busson Michele Catteau c’était mon médecin aussi, super dévoué. J’ai été suivie ensuite pour moi et toute ma famille par son Petit fils André, aussi génial que lui, une personne à l’écoute, très sympathique, jamais je n’ai eu un médecin comme lui et il me manque beaucoup. Pour moi c’était un peu un ami. Ces médecins me manquent, plus rien à voir avec ceux de maintenant. Hélas les temps changent le médecin de famille n’existe plus ou beaucoup moins.

Michele Catteau ici à martigues dificille de trouver un médecin

Christiane Busson Magnifique hommage pour ce docteur méritant, aimé de ses patients, cependant si discret et toujours disponible. Merci Monsieur Louf

Annie Moreno Feys Bon souvenirs du docteur louf toujours à l'écoute de ses clients en pouvait l appeler à toutes heures de jours ou de nuit

Thérèse Lombard Il a était le Dr de toute notre Famille

Bruno Geulen Et il y avait aussi le docteur Bolvin j ai oublie l adresse et peut etre que l orthographe du nom aussi n est pas exactement correct...

Daniel Delafosse Bruno Geulen c'est exact... Henri Bolvin demeurait au 24, rue Gustave Desmettre (photo 2023 ci-dessous) à hauteur de l'ancien cinéma "Le Régent".

Francine Lagrange Merci pour cette belle évocation Comme pour une bonne partie des Halluinois le Docteur Albert Louf était le médecin de mes parents et de mon grand père Il nous a accompagnés et soutenus dans des moments parfois bien difficiles ....

Jacques Micheline Verholle Très beau reportage sur le Dr Albert Louf. Merci 

Mbone Bonjour Medecin de mon grand-père, j'ai eu l'occasion de me faire occulter par lui, toujours en costume avec son grand tablier blanc, il m'impressionnait.

Monique Parent C'était notre médecin de famille ..à l'écoute c'était un très bon médecin  

Mamie du Nord C'était notre médecin de famille...il a même décoré mon grand-père de la légion d honneur (grand mutilé de guerre)

 

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Commentaire et Photos  : Presse - ARPHalluin - Daniel Delafosse