Coté pair, rue de Lille à Menin, entre la douane belge et l'angle de la rue de Reckem.
(photo 8393-ad/Urba Menin)
(photo 8408-ad/Urba Menin)
A Menin rue de Lille, à la frontière avec Halluin, douaniers et agents en douane belges
posent devant leurs bureaux; à noter que celui de l'agent en douane est en
même temps un café car à l'époque il manquait de locaux pour installer les
agences en douane.-
(photo 8321-ad/Menin)
(photo 8398-ad/Menin fb)
(photo JM 0893/ad/urb Menin)
(photo 8320-ad/Menin)
A la frontière rue de Lille à Menin,après une journée, ou une nuit de travail, les ouvriers frontaliers belges rentrent chez eux, en bicyclette ou en bus.
Les réglements douaniers de l'époque imposaient qu'ils passent la frontière à pied et non dans les bus, ce qui ne manquait pas d'alimenter les encombrements déjà créés par le trafic des camions.-
Rue de Lille à Menin, à la frontière entre la France et la Belgique.
Bien que le mot " douane" apparaisse encore sur le fronton du bâtiment,
cette dernière a été supprimée le 01-01-1993.
(photo 8397-ad/Menin)
Rue de Lille à Menin entre la douane belge et française, côté pair, l'ancien café "Au
Tambour".-
(photo 8376-ad/Menin)
Rue de Mouscron à Menin, le château d'eau. On peut encore
observer les rails de tramway.
(photo 8385-ad/Menin)
A Menin, la rue Royale.-
(photo 8387-ad/Menin)
A la frontière avec Menin, à l'angle des rues de Lille et de Reckem (actuellement Hoornwerk)
le café " des deux nations".-
(photo 8378-ad/menin)
(photo 8318-ad/Menin)
(photo 8319-ad/menin)
Dans les années 50, champ et contrechamp de la vie quotidienne rue de Lille à Menin, à la frontière avec Halluin : travailleurs frontaliers belges en bicyclette, ou remontant dans leur bus, qui avec les camions en attente du passage en douane bloquent la circulation et masquent les vitrines des magasins.-
Extraits commentaires facebook : ( décembre 2016)
Jacques Hanicot Que de souvenirs !!Vers mes 6 ans j'habitais rue de Lille dans les appartements Gerlandt. Les camions qui attendaient leur passage en douane étaient garés les uns derrière les autres jusque chez nous. Une fois l'un de ces camions qui transportait du lin s'est couché, sous le poids de sa cargaison, juste devant l'entrée des appartements. Je me souviens de la panique qui fut la mienne car il nous fut impossible de sortir de chez nous tant que tout le lin ne fut ramassé et tant que le camion ne fut rétabli sur ses roues, c'est à dire pendant une journée complète.Souvenirs, souvenirs ...
A Menin, vue sur la Lys qui à cet endroit deviendra la oude leielaan.-
(photo 8339-ad/Menin)
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